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GROUPE HOSPITALIER EST REUNION - GHER

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du Groupe Hospitalier Est Réunion

Le Groupe Hospitalier Est Réunion propose une offre de soins complète en proximité

Situé dans l’Est de l’île de La Réunion, et bénéficiant d’une implantation récente dans des locaux modernes, le Groupe Hospitalier Est Réunion (GHER) dispose d’une capacité totale de 300 lits et places de Médecine/Chirurgie/Obstétrique sur le site de Saint-Benoît et d’une unité de soins Médicaux et de Réadaptation (SMR) à orientation gériatrique ainsi qu’une unité de soins de longue durée sur son site de Saint-André.

En direction commune avec le CHU de La Réunion, le GHER rassemble 1010 professionnels hospitaliers dont 120 personnels médicaux (séniors et internes) pour un budget de 80 M€.

Le GHER dessert le territoire Est de l'île dont il est l'établissement pivot. Ce territoire regroupe les communes de Saint-André, Bras -Panon, Saint-Benoît, Sainte-Rose, Salazie et la Plaine des Palmistes.

Le SAU du GHER enregistre plus de 31.000 passages aux urgences par an.

La maternité de niveau 2 A réalise un peu moins de 1500 accouchements par an.

Le GHER dispose de 6 salles de bloc opératoire où sont réalisés des actes dans des disciplines chirurgicales variées : ORL et chirurgie maxillo-faciale, Orthopédie, Stomatologie et dentisterie ambulatoire, Gastro-entérologie, Chirurgie digestive, Gynécologie, Chirurgie plastique et esthétique, Ophtalmologie.


La localisation du GHER sur le Pôle Sanitaire de l’Est depuis 2012 permet de travailler en étroite collaboration avec les autres membres du GCS : 


Un hôpital à taille humaine, dans une région aux paysages authentiques et préservés

Le site principal du GHER se trouve sur la commune de Saint-Benoît (sous-préfecture de La Réunion) sur la côte Est de l’île.

Cette région Est de La Réunion se situe sur la Côte au Vent entre Saint-André et Sainte-Rose et elle s’étend jusqu’aux contreforts du Piton des Neiges. Elle comprend notamment sur son territoire des trésors naturels exceptionnels à l’image du cirque de Salazie, de la forêt primaire de Bébour ou encore de la vallée de Takamaka. La sous-préfecture Saint-Benoît forme la 2ème commune la plus vaste du département. Territoire encore essentiellement rural, il s’est néanmoins fortement développé sur certains secteurs. La commune de Saint-André profite de sa proximité avec le Nord et s’est beaucoup développée ces dernières années. Pour autant, les champs de canne couvrent encore de larges espaces sur le littoral et les mi-pentes de ces communes, ainsi qu’à Bras-Panon ou à Sainte-Rose. Le soleil associé au climat humide de la région est propice à la culture des fruits, notamment les bananes, les letchis, les mangues, la vanille… Le cirque de Salazie offre une nature et des paysages exceptionnels au coeur du patrimoine et de la culture réunionnaise, comme la commune de la Plaine des Palmistes. La région Est offre dans son ensemble un visage authentique et encore très préservé.

Située à une quarantaine de kilomètres de Saint-Denis, la ville de Saint-Benoît (38.000 habitants) possède une végétation omniprésente et luxuriante qui a forgé d’étonnants paysages et des fonds de rivières qui comptent parmi les plus beaux de l’île. Elle étend son territoire « du battant des lames au sommet des montagnes ». Un peu plus de 58 % de la superficie de la commune est située dans le cœur du parc national (les grands massifs forestiers : Takamaka, Bélouve....) et 19 % dans l'aire d'adhésion, soit 78% du territoire communal concernés par le parc national. Grâce à ses bassins, cascades, forêts primaires mais aussi ses espèces végétales et animales endémiques dans les Hauts, ses larges étendues sucrières et ses îlets ombragés voués aux cultures fruitières, Saint-Benoît s’impose comme un haut lieu du tourisme dans l’Est. La ville est aussi réputée pour ses bichiques et ses letchis.


Saint-Benoît, ville des eaux vives

La Ville regorge de rivières qui comptent parmi les plus belles de l'île. Traversée par la rivière des Marsouins, elle est aussi délimitée par la Rivière des Roches et la Rivière de l'Est et entourée de multiples points d'eau (le Grand-Etang, le Bassin Mangue, le Bassin de la rivière des Roches, le Bassin Bleu...) et de cascades majestueuses.

Rares sont les lieux facilement accessibles et où l'on peut pratiquer la baignade dans des eaux d'un incroyable bleu turquoise ; c'est pourtant le cas du Bassin bleu à Sainte-Anne. Ce bassin d'eau douce est un site agréable et rafraîchissant. Protégé de la mer par de gros galets imposants et enclavé par le radier qui traverse la rivière, le site est aménagé en un sympathique lieu de pique-nique. En été, les enfants apprécieront les jeux d'eau installés sur le site.


Histoire de Saint-Benoît, Paradis des cultures : café, letchis, mangues, épices

La ville est colonisée dès le XVIIe siècle, mais il faut attendre le début du XVIIIe siècle pour que les premières concessions de terre destinées à la culture du café soient accordées dans cette région d’accès difficile.

La population augmente et en 1732, monsieur Teste, curé de Sainte-Suzanne, demande la création d’une paroisse. Aidé du gouverneur de l’île, Pierre Benoît Dumas, il obtient un accord du Conseil Supérieur de Bourbon en janvier 1734. Le premier registre curial est ouvert le 7 mai 1734 et l’église achevée en 1735. La paroisse puis la commune érigée en 1815 sont nommés Saint-Benoît en l’honneur du gouverneur.

Saint Benoît, gratifié d’un climat ensoleillé et fréquemment arrosé, devint vite un paradis pour les cultures les plus diverses : c’est là que Joseph HUBERT acclimata les épices rapportées par Pierre POIVRE et que prospérèrent le manguier d’Inde, le letchi de Chine et plus tard la vanille du Mexique.


Au début du XIXe siècle, le paysage agricole de la ville change : la culture de la canne à sucre prend peu à peu une place prépondérante. C’est une période faste pour la commune : la qualité des cannes est excellente. De nombreuses usines sont créées et la population croît jusqu’à atteindre les 20 000 habitants. Hubert Delisle, natif de Saint-Benoît, devient gouverneur de l’île. Malgré une mer souvent démontée, le trafic maritime se développe avec l’apparition de « marines » d’où le sucre est chargé dans des chaloupes vers les navires. Ce trafic prend fin avec l’arrivée du chemin de fer en 1882.

En 1950, un terrible incendie ravage le centre-ville. La reconstruction s’achève dans les années 60, avec la maternité, le nouvel hôtel de ville et le lycée. Les années 1980 sont marquées par un développement important de la commune tant au niveau de l’habitat que du commerce et de l’industrie. De commune rurale, Saint Benoît, sous-préfecture depuis 1968, devient donc une commune urbaine, bien que les terres agricoles y soient encore importantes.

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